dimanche 3 octobre 2010

Act of War














un film de
Robert Lee
avec
Jack Scalia,
Douglas H Arthurs,
Ingrid Torrance,
Jan Nemejovsky,
Milan Cargula,
David Nykl,
Katerina Kornova,
Terry Barclay, Shannon Mac Cormick, Nancy Bishop...
1997 - USA
Un homme prépare un départ, ou un déménagement ( ? ), avec force cartons et il arme son pistolet ( pour quoi faire ? ), le tout sur un fond musical slave.
Ailleurs, au Bazrakhistan, une république soviétique imaginaire, une base de missiles se fait attaquer par des terroristes.
Bon...jusque là, ça ne me parait pas des plus original !
On apprend que l'homme du début, qui se prend pour James Bond avec son costume-noeud pap., est en fait un agent ( secret ? ) qui travaille à l'ambassade américaine en Russie ( d'où la musique slave et la république soviétique...). Prévenu par son patron d'ambassadeur, il va essayer de déjouer le complot terroriste qui vise à renverser l'actuel président...lourde mission. Ce complot est mené par le vice-président, au nom évocateur de Kroutov et Jack Gracy, c'est le nom de l'agent de l'ambassadeur, est seul face aux terroristes. Déjà qu'il se prenait pour James Bond, voilà maintenant qu'il essaye de copier Bruce Willis dans le 1er Die Hard...
Voyant cela, la NSA, l'Agence de Sécurité américaine, va chercher à se débarasser de Kroutov ( on cherche toujours à se débarasser des vieux croutons...je sais, le jeu de mot est facile ) en envoyant sur place un commando. Entre temps, le fameux Kroutov est éliminé par un de ses sbires, un nommé Konstantine, arrogant au possible et au faciès monolithique. Puis les terroristes déciment le commando et tentent de s'enfuir en hélicoptère. Mais le super agent Gracy abat l'hélico en vol.
Vous suivez toujours...???
Malheureusement, des missiles avaient été programmés et finissent par détruire le palais présidentiel. Mais apparemment, il n'y avait personne à l'intérieur. Ouf !
Voilà, voilà. Je ne vous raconte pas la fin pour ménager le suspense...Allez, si, c'est trop tentant : Konstantine, le chef des terroristes, toujours vivant ( ? ), fini par mourir suite à une bataille finale avec super-Gracy et, récompense suprême, ce dernier a droit à un bisou appuyé de la fille du président.
Bref, un film assez cucul avec explosions de maquettes ( ah ! le palais présidentiel en carton-pâte...), scènes grands-guignolesques et acteurs qui bougent les lèvres et parlent parfois dans le vide ( vive le doublage ! ). Malheureusement l'habit ( en l'occurence le costume noeud-pap ) ne fait pas le James Bond et Jack Scalia donne un peu trop dans le jeune beau musclé ( il a tout de même pas loin de 50 ans au moment du film...) et la douce Ingrid Torrance, ma foi fort mignonne, y aurait gagné à être un peu plus déshabillée...Dommage.
1 Silencer + 1 Silencers = 2 Bonus :
* le réalisateur Robert Lee dirigera en 1999 un film assimilé espionnage avec Michael Dudikoff, The Silencer
* en 1996, Jack Scalia avait déjà incarné un agent des services secrets américains dans un film de Richard Pepin intitulé...The Silencers ( le nom du réalisateur ne présage rien de bon...)

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